Ces cadres Porcelaine et plexiglas ont été crées en même temps que l’installation « Poussière de porcelaine » . ils la complétaient et ils représentaient comme des « grains de poussière » agrandis, rêvés.

Ils représentent les ombres et les transparences du soleil qui joue avec l’espace. On va y retrouver le soleil dans les feuilles d’un arbre ou dans le scintillement de l’eau et surtout vibrant dans nos grandes villes entre reflets, transparences, matités et brillances.

Les végétaux

Lumières à travers les feuilles des arbres, dans les herbes des champs. Tout ces petits éclats de chaleurs qui dansent et nous font rêver.

Les villes

Lumière qui se cogne de vitrines en pare-brises.Baies vitrées qui nous renvoient le reflet d’un fleuve, d’une enseigne. Oublions le contexte pour ne suivre que ces éclats plus brutaux et plus vivant qu’ailleurs.

L’eau

Lumière qui scintille dans une vague, une éclaboussure ou dans le calme d’une rivière…

Ici encore plus de travail de relief sur la porcelaine qui a souvent été mise en forme, les cadre prennent encore plus de troisième dimension.